Le Design thinking

On choisit une salle agréable et accueillante, qui va nous servir de bulle créative pendant ce temps commun. On prévoit du matériel qui va permettre techniquement à l’atelier de se dérouler dans les meilleures conditions :

• un tableau, sur lequel écrire
• des post-it
• des feutres de couleur
• des sabliers de différentes durées (30 secondes, 1 minute, 5 minutes…)
• des outils, jeux, cartes pour faciliter l’idéation
• du matériel destiné au prototypage

Nous adoptons une approche expérimentale et expérientielle (c’est en faisant qu’on apprend), centrée sur l’humain et nous mettons les techniques d’intelligence collective au service de l’innovation. Notre facilitateur est là pour garantir le cadre de l’atelier et la créativité des participants tout en s’assurant que les objectifs et contraintes de cette méthode soient respectés. Les solutions doivent répondre à un besoin, à une tension réelle vécue par l’utilisateur et cela est vérifié à plusieurs reprises au cours de l’atelier.

Le design thinking est à la fois une méthodologie, un processus et un état d’esprit. Il est sujet à plusieurs interprétations.
En ce qui concerne la méthodologie utilisée dans nos ateliers, nous nous reposons sur les 5 étapes reconnues par la d.school de l’université de Standford :

1.  L’empathie
2. La définition
3. L’idéation
4. Le prototypage
5. Les tests

Chacune de ces étapes ne sont pas linéaires, mais plutôt cycliques (itération). Il est possible à tout moment de revenir à n’importe quelle étape pour compléter, ajuster ou confirmer des éléments.

En parallèle à ces 5 étapes, les participants sont amenés à vivre une première phase de divergence, puis de convergence afin de tout d’abord confirmer la définition d’un problème, puis de vivre ces deux phases une nouvelle fois pour établir et créer la meilleure solution.